Cette année académique 2020-2021 l’association des étudiants et scolaires de l’Oubritenga section Koudougou a a procédé au renouvellement de ses instances.Et le nouveau nouveau bureau exécutif entend mettre tout en œuvre afin de rassembler les fils et filles de ladite province. Votre journal www.yirimedia.com est allé à la découverte de cette structure ainsi que ses actions sur le terrain
Lissez donc!
Investi président depuis le 28 février 2021 au cours d’une assemblée générale ordinaire par ses camarades, Wendiame Christian Compaoré, étudiant en Sciences economiques et Gestion(SEG II) s’est donné pour mission de rassembler tous les fils et filles de la province d’Oubritenga dans le Boulkiemdé au tour de l’AESO. En effet l’association des étudiants et scolaires de l’Oubritenga est une structure à caractère scolaire et estudiantin, apolitique à but non lucratif. Pour le président, la structure poursuit un certain nombre d’objectif dont l’objectif global est le rassemblement de l’ensemble des fils et filles de la province de l’Oubritenga qui sont à Koudougou. L’objectif spécifique est la promotion et le renforcement de la solidarité ainsi que la capacité de formation et d’insertion qui faciliteront le vivre-ensemble entre membres. Nonobstant, le bureau executif de l’AESO composé de 12 membres a adopté d’une feuille de route en Assemblée Générale (AG) après la mise en place du nouveau bureau exécutif . Cette AG a permis de tracer les grandes lignes des projets d’activités à travers une vision stratégique, une démarche participative et inclusive des membres. « Nous avons adopté un projet d’activité dans lequel un certain nombre d’activités ont été ciblées. Les activités déjà exécutées sont entre autres la formation en leadership (tenue le 17 mai), la formation sur la rédaction des documents administratifs tenue le 18 avril 2021, des matchs amicaux » nous-a-confié,le président de la structure. Pour lui, à titre des activités inscrites cette année, il y aentre-autres les formations, les thés débats, les sorties… « Nous avons les formations telles que la formation en technique de la prise de parole en public, la formation en entrepreneuriat, la formation sur la saponification. Outre ces formations, nous avons les activités telles que les thés débats, des sorties, la journée de jeune fille de l’Oubritenga
, les 48h de l’AESO (première édition) et les 72h de l’AESO (troisième édition) qui sera tenue à l’Oubritenga », dit-il. Toutefois, ces activités ont tous des objectifs qui s’inscrivent dans la vision de l’AESO. Christian Compaoré,nous confie d’abord que la formation à la prise de la parole en public consiste à apprendre aux membres de la structure à pouvoir s’exprimer correctement en public. Ensuite pour ce qui est du leadership, c’est d’offrir aux ressortissants d’Oubritenga le nécessaire pour qu’ils se dégagent en eux l’esprit d’entrepreneuriat et du développement personnel. Aussi la journée de jeune fille, quant à elle, permet de consolider le potentiel humain de la jeune fille de l’Oubritenga. Et enfin les thés débats consolident les connaissances des militants sur des sujets d’actualité.Toujours pour Christian Compaoré, la difficulté majeure de l’association concerne la mobilisation des membres mais aussi celle financière.<< Les difficultés que nous rencontrons sont la faible participation des membres. Les étudiants ressortissants d’Oubritenga peuvent atteindre 3 000 personnes, pourtant dans les Assemblés Générales ont peut se retrouver avec une centaine de participant seulement. C’est là l’une de nos difficultés majeures. Il y’a aussi des difficultés sur le plan financier qui nous entrave dans la mise en exécution de notre programme d’activité », déplore-t-il.
Pour ce faire des mesures ont été prises afin de palier ces difficultés ,et pour Sita 1ère Ouédraogo, secrétaire géneral,le 18 mai dernier ,un comité mobilisation a été mis en place pour travailler à la participation aux activités des militants.
Christian Compaoré,président de l’ASO a appelé l’ensemble des étudiants, élèves stagiaires et élèves d’Oubritenga résidant à Koudougou à se mobiliser autour de l’AESO dans un élan de solidarité, de fraternité .
Dramane FAYAMA (Correspondant)