Publication de conversation privée: L’auteur peut être passible d’une peine de 2 mois à 12 mois, explique Gilles Sawadogo.

Depuis maintenant 2015 nous assistons à l’enregistrement et à la publication de conversations privées au Burkina.Et depuis lors le phénomène prend de l’ampleur,l’on a toujours en mémoire le cas Djibril Bassolet, le cas Nogo, le dernier en date c’est le cas Marshall Laurence Ilboudo.
Pour savoir ce que dit la loi sur cette question,nous avons approché Guetwendé Gilles Sawadogo, il est juriste , connu par les internautes burkinabés pour ses analyses et voici sa réponse:

Un commentaire sur « Publication de conversation privée: L’auteur peut être passible d’une peine de 2 mois à 12 mois, explique Gilles Sawadogo. »

  1. Bonjour chers tous! Effectivement le phénomène est loin d’être nouveau et si les autorités n’y prennent garde tous les citoyens se retrouveront malheureusement sans vie privée si toute fois le phénomène persiste. Sur cette question, jusque-là, on n’a pas entendu qu’une personne a été condamnée. La vie privée des citoyens est plus qu’un droit et ne doit en aucun être violé. Merci Yirimédia!!!

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